La prochaine réunion du Conseil
aura lieu le
LUNDI 14 OCTOBRE
9H à 16h
SYNDICAT CFDT SERVICES AUBE
Tel : 03.25.73.49.08
Fax : 03.25.73.04.91
2A Boulevard du 1er RAM
10000 TROYES
Tel secrétaire générale : 07.82.62.97.54
@:cfdt-services-aube@orange.fr
Lorsqu’on évoque le secteur de la restauration rapide, on pense directement aux burgers et sandwichs. Viennent aussi en tête les grandes enseignes comme McDonald’s, Paul, KFC etc.
En réalité, ce secteur englobe 7 segments différents : les fast-foods, la restauration alternative, les spécialités locales, les sandwicheries, les coffee shop, la restauration ethnique et les pizzerias.
Ce nouveau mode de restauration se fédère dont le but est de faire gagner du temps au client en lui permettant d’emporter ou de consommer rapidement les plats commandés.
Mais derrière ces noms d’entreprises et les associations du hamburger et du sandwich, se mobilisent plus de 170 000 salariés qui ne connaissent pas toujours leurs droits. C’est dans cette mesure que la CFDT édite aujourd’hui un Guide spécial sur vos Droits essentiels.
La CFDT revendique et négocie pour vous la convention collective nationale et nous avons besoin de votre sou- tien pour organiser et améliorer le rapport de force avec les organisations patronales.
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LES ENTREPRISES CONCERNÉES
L’ensemble des salariés du secteur HCR, y compris ceux embauchés sous contrat en alternance travaillant dans les entreprises comprises dans le champ d’application de la convention collective nationale des HCR.
Sont donc concernés les salariés qui travaillent dans les entreprises des secteurs suivants :
*hôtels et hébergements similaires avec ou sans restaurant
*restaurants et cafés restaurants
*cafés – tabac
*débits de boissons
*traiteurs organisateurs de réception
*bowlings
Entreprises qui sont généralement répertoriées aux codes NAF suivants : 55.10 Z, 56.10 A, 56.10 B, 56.30 Z, 56.21 Z et 93.11 Z, situées en France métropolitaine et dans les départements et régions d’outre-mer.
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Le harcèlement sexuel, et plus largement les violences sexistes et sexuelles au travail, sont une réalité subie chaque année par des milliers de salarié-es dont la quasi-totalité sont des femmes. Ce constat, recoupé par de nombreuses enquêtes et études, est insupportable pour les syndicalistes que nous sommes.
Insupportable parce qu’il est avant tout le reflet d’une société dominée depuis des siècles par les hommes. Une domination qui se traduit notamment par une incroyable tolérance au sexisme, terreau des violences faites aux femmes. Insupportable parce qu’au-delà des chiffres, il s’agit bien de femmes dont la vie professionnelle, mais aussi personnelle, peut être brisée par ces faits.
Insupportable enfin parce que trop peu d’acteurs de l’entreprise, nous compris, s’emparent de ce sujet alors que tous les moyens sont à disposition pour prévenir ces comportements.
Les victimes de violences sexuelles et sexistes en parlent peu, et quand elles le font, ce n’est pas toujours à un-e syndicaliste. Il est pourtant de notre responsabilité syndicale, chacun-e à notre place, d’agir sur ce sujet. En commençant par être nous-mêmes exemplaires.
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Ancrée dans les valeurs de solidarité de la CFDT, la lutte contre les inégalités est un combat aux multiples facettes. En se battant notamment pour l’égalité des droits dans le monde du travail, la CFDT agit contre toutes les discriminations, quelles que soient leur forme et leur cible, tout en tenant compte de la particularité de chacune : les discriminations ne se confondent pas et ne se combattent pas de la même manière. Les discriminations contre les personnes LGBT*. Étant une réalité dans le monde du travail, il est à ce titre évident que la lutte contre celle-ci relève bien de l’action syndicale. Basée sur une approche globale et un traitement différencié, cette action se décline dans des actions variées visant à supprimer toute discrimination liée à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre dans l’accès à l’emploi, et dans l’emploi (évolution professionnelle et égalité des droits).
(*) Lesbienne, gay, bisexuel, transgenre.
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Le fait religieux au travail est une réalité que rencontrent de plus en plus de nos équipes. Certes en progression ces manifestations restent néanmoins très peu fréquentes et, dans l’immense majorité des cas, elles ne génèrent pas de conflit. Mais elles peuvent percuter nos représentations et nos valeurs, voire perturber le « vivre ensemble » dans l’entreprise.
S’il revient bien aux dirigeants et aux managers d’intervenir, il est important que chaque militant dispose des bases de connaissances législatives et réglementaires nécessaires, et d’éléments de démarche que la CFDT prône face à des demandes de type religieux. C’est l’objet de ce guide, qui a été établi après avoir écouté des témoignages d’équipes confrontées à ces questions.
Rappelons-le : si dans le service public, la laïcité de l’État impose la neutralité des agents par respect des convictions des usagers, dans le secteur privé, elle pose le principe de liberté individuelle, dans le cadre du respect de toutes les libertés.
Au-delà des aspects juridiques ou réglementaires, l’attitude et la réaction d’un militant ou d’une équipe CFDT confrontée à une demande de type religieux doit naturellement reposer sur les valeurs de notre organisation et les grands principes qui guident notre action.
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A travers ce guide, la CFDT s'adresse plus particulièrement à ceux qui travaillent dans des entreprises de moins de 50 salariés. Salaire et pouvoir d'achat, conditions de travail, emploi et parcours professionnel, dialogue social sont les thèmes qui y sont abordés. Vous trouverez aussi en fin de guide des réponses aux questions juridiques essentielles.
Parce qu’avec près d'1 million 700 000 d'hommes et de femmes qui travaillent chaque année pour une agence d’intérim, le travail temporaire est devenu un acteur important de l’emploi en France.
Parce qu’avec le placement en CDI ou CDD, la création du CDI intérimaire, le secteur a énormément évolué au gré des années et des évolutions législatives ou conventionnelles.
Parce que, ces évolutions, la CFDT a su par le dialogue social les encadrer et les sécuriser depuis la loi de 1972 légalisant le travail temporaire en France.
Parce que la CFDT, au fil des années, est devenue l’organisation syndicale incontournable et décisive dans la sécurisation des parcours professionnels des salariés intérimaires en participant à la création de nouveaux droits (actions sociales, formation continue, accès au CDI, protection sociale...).
Parce que, à tous les niveaux, dans les entreprises de travail temporaire, dans les syndicats locaux CFDT ou à la Fédération des Services, les représentants CFDT négocient et défendent les intérêts des intérimaires. Mais aussi les accueillent, les informent et les impliquent.
Parce que malheureusement les intérimaires méconnaissent souvent l’ensemble des droits auxquels ils peuvent prétendre.
Parce que les salariés intérimaires sont des salariés comme les autres et que la CFDT est à leurs côtés chaque jour dans les entreprises de travail temporaire ou dans les entreprises.
La Fédération des Services a souhaité mettre à jour son « guide des intérimaires » qui depuis plusieurs années accompagne salariés et militants d’entreprises.
La Fédération des Services CFDT